julie

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25 天前
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Bonjour, je suis Julie Lambert, j'ai 32 ans et je suis media planner chez GroupM à Bruxelles. Je gère des budgets pour plusieurs clients en Belgique, essentiellement dans la grande consommation et le divertissement. On travaille souvent avec Rossel Advertising pour toucher le public francophone de Wallonie et de Bruxelles. Par exemple, j'intègre régulièrement Le Soir et Sudinfo dans mes plans média car leurs audiences sont très ciblées et engagées. À côté de Rossel, nous utilisons aussi d'autres régies belges comme IP Belgique (SudPresse) ou DPG Media (La DH), ainsi que des plateformes internationales (M6 Publicité, TF1 Publicité, Google, Facebook) pour allier couverture large et offres multi-plateformes. Concernant l'offre, je trouve que Rossel se distingue par son ancrage local et la qualité de ses contenus. Le groupe Rossel touche plus de 60 % des francophones chaque semaine rossel.be . Le Soir, Sudinfo et leurs magazines nous permettent de bénéficier d'un environnement très crédible pour les marques. Par exemple, pour une campagne d’une marque premium, j’ai souvent ciblé Le Soir pour son lectorat CSP+ afin de renforcer l’image haut de gamme. Sur le digital, leurs sites (lesoir.be, sudinfo.be, etc.) offrent des formats plus modernes (bannières display, vidéos), même si le CPM est parfois plus élevé que chez les géants du web. Dans l’ensemble, je vois Rossel comme un complément de choix : ça assure un bon contexte éditorial et une excellente proximité régionale, en complément de nos autres canaux de masse. Sur la data et le ciblage, Rossel s’appuie surtout sur sa propre data « first-party ». Ils connaissent bien leur audience et proposent des ciblages par région, par socio-démographie ou par centres d’intérêt via le contexte des rubriques. Par exemple, on cible nos annonces dans des rubriques « famille » ou « loisirs » quand le produit s’y prête, ou géographiquement par ville/lité. Récemment, Rossel a collaboré avec IAS (Integral Ad Science) pour améliorer la visibilité et la brand safety des campagnes digitales rosseladvertising.be , ce qui est rassurant pour les clients. En pratique, on utilise ces segments contextuels dans notre DSP (comme Adform) et on fait parfois du retargeting géolocalisé autour des villes-clés. Je dirais que la data de Rossel est très pertinente pour du ciblage local profond, mais on la complète généralement par des segments propriétaires (via notre DMP) pour enrichir nos audiences. Côté formats et innovation, Rossel propose un éventail assez large, mais assez traditionnel. On retrouve du print classique (pub papier, double pages), des bannières digitales, des habillages de sites et de la vidéo (pré-roll/in-stream via Digiteka). Par exemple, j’ai utilisé leurs vidéos Moovizz pour raconter l’histoire d’un produit lors d’une campagne, et leur équipe NewsMaster pour créer du contenu éditorial sponsorisé. Ils ont aussi une offre d’influence (Efluenz) qui nous permet de toucher des communautés plus jeunes sur les réseaux sociaux. Cela dit, je dois avouer qu’on reste sur des formats classiques pour l’instant. J’aimerais qu’ils développent des formats mobiles innovants ou des contenus interactifs (quiz, réalité augmentée) pour capter différemment l'attention. Actuellement, on collecte surtout des KPI traditionnels (vues, clics) et on n’a pas de call-to-action très disruptif, donc ce serait un axe à explorer. Sur l’omnicanalité et les synergies, j’ai eu de bonnes expériences. Rossel déploie plusieurs canaux : ils ont la presse écrite, le numérique, mais aussi des radios (Bel RTL, Nostalgie) et des magazines. Nous avons monté des campagnes multi-supports intéressantes : par exemple, un client a diffusé un même message en affichage dans Le Soir, avec des spots radio sur Nostalgie et du retargeting digital sur les sites Rossel. C’est pratique car tout est orchestré par une seule entité, ce qui assure une cohérence du message. Bien sûr, il faut coordonner les plannings (le print a des deadlines plus longs que la radio ou le digital), mais en fin de compte cela renforce l’impact de la campagne. On touche ainsi la même audience francophone à différents moments de la journée et via plusieurs médias. Enfin, en termes d’attentes et de recommandations, j’aimerais que Rossel continue à innover, surtout sur la donnée et le programmatique. Par exemple, pouvoir cibler nos propres segments CRM via leurs plateformes (ou faire du lookalike à partir de nos clients) serait un gros plus. Nous apprécierions aussi une meilleure transparence sur les résultats : Rossel a lancé un baromètre EYE pour suivre les KPIs rosseladvertising.be , mais un tableau de bord plus accessible en self-service serait encore mieux. Côté créatif, ce serait intéressant qu’ils proposent des formats plus immersifs (storytelling interactif, podcasts de marque). Enfin, pourquoi pas offrir plus de packages combinant print + digital à des tarifs attractifs : cela inciterait certaines marques à tester Rossel avec un budget modéré. En résumé, Rossel est un partenaire de confiance pour la presse francophone, et pour nous donner encore plus de budget, il faudra qu’ils renforcent leur offre digitale et leurs outils de mesure.

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Du coup, j'ai testé une nouvelle crème hydratante que j'ai trouvée chez Sephora. Elle était en promotion à 29 euros, donc pas trop chère. Je vais voir ce que ça donne sur ma peau, mais pour le moment j'aime bien la texture. Je vous ferai un retour dans quelques jours.